Le site de Jacques Chevalier

Articles de jacques-17

    • Jacques CHEVALIER
    • retraité
    • HOUTAIN SAINT SIMEON

Centres d'intérêts : politique, actualités, cuisine, amour, nature, bonheur

Citation préférée :

Même ce qui est vrai est faux (Frère Alfred 1964)

  • RACRACRIFOUGNI & SCRABOUDJAS

    Racracrifougnî et scraboudja

     

    Chaque matin en m'éveillant j'ai des pensées bizarres, de questions qui se posent en moi, des espèces de résurections de mots d'avant, alors j'en parle avec Annick et bien souvent nos mots réveillent nos armoires à souvenirs.

    Le père d'Annick a écrit des pièces en Wallon, il connaissait bien notre langage local (Liégeois), A propos des mots qui me sont revenus ce matin elle se souvient que son père la reprenait de volée quand elle définissait ses dessins (et d'autres dans ce que l'on pourrait appeler des dessins enfantins) du terme "craboudjas", il lui disait qu'il fallait plutôt dire "galimatias".

    Le dictionnaire Larousse définit ainsi ce mot : "galimatias" :

    Discours ou écrit embarrassé, inintelligible.

    Synonymes :

    amphigouri - baragouin (familier) - charabia - embrouillamini - jargon - pathos (littéraire) " mots des autres - même si c'est inutile à première vue - serait une bonne initiative commune en vue de retracer la (ou les) mémoire(s) locales dans le temps.

    donc ici dans les synonymes on trouve "charabia" qui, selon moi, se rapporohe le plus de nos "craboudjas" (Annick) et "scraboujdjas" (selon moi).

    Reste le premier mot qui pour moi évoque l'essuie-mains (ou vaisselle) posé sur l'assise d'une chaise (ou d'un fauteuil ou chaise roulante) pour atténuer les frottements de nos postérieurs trop longtemps mis en assise pouvant entrainer des gerçures cutanées. C'est cet essuie qui ne colle pas à son équipement de base qui se racrapote dans le mouvement de pose du cul sur la chaise et donc se chiffonne.

    Bon vous allez me dire (avec raison) que mes élucubrations du matin sont inintéressantes et ne méritent pas que l'on s'y attarde. Certes !

    Même si cela ne sert à rien je sais que mes lecteurs ont aussi des traces orales ou écrites de leurs passés, les confier ici en commentaires, les confronter, serait faire oeuvre utile. A vous la parole en commentaires à mon blog (tout le monde peut commenter mon blog, pas besoin d'être membre du site).

    Merci de m'avoir lu.

    Jacques Chevalier 

  • C'EST (bientôt) LA GUERRE !

    Et oui, on risque bien dans un proche avenir de se retrouver dans un champs de ruines, un paysage à jamais détruit par les armes chimiques et nucléaires tirées par d'obscurs tyrans et autres crétins qu'ils se disent démocrates ou non.

    Je regarde chaque dimanche soir le Jardin Extraordinaire sur la Première (RTBF) et j'y découvre plein des beautés de la terre et de la nature telle qu'elle est encore et c'est beau et ces animaux dont certains sont en voie de disparition quand on commence à enfin les connaître, eux qui sont là depuis bien avant l'homme (avec une minuscule, je précise, il ne vaut pas une majuscule). On est loin de Gaza et d'autres terres de jeux dangereux un peu partout où seuls comptent le pouvoir et (donc) le fric. Mais force nous est d'y revenir car c'est notre lot quotidien dans les JT et autres médias.

    Et le petit peuple de s'extasier sur la vie des riches, des rois et autres bouffeurs de gamelles gratuites, de soutenir des "sportifs" qui n'en ont rien à fouttre des gens tant que ceux-ci continuent à les nourrir et les aduler. Et Pourtant ces riches et profiteurs seront rien qu'avec leurs serviteurs proches sur l'arche de Noé de la terre quand tout sera chambardé. Nous, les petits, nous passerons plus de  temps à creuser nos tombes ou seulement à pourrir au grand soleil.

    MAIS - car il y a un mais - nos dirigeants nous préparent à la guerre et vont - en Belgique - s'en préoccuper en 2025 (pas avant). 

    Ils prévoient la distribution de kits de survie pour tous les belges (non non ce n'est pas une blague), on ne sait pas avec quoi dedans...

    Penchons-nous sur le contenu hypothétique de ce kit :

    Attention !  Mieux qu'un mode d'emploi ce petit bouquin multi langues et confessions (par exemple bible pour les cathos) peut vous expliquer comment devenir un ange ou baiser 77 vierges toute l'éternité...C'est en quelque sorte de début et la fin du mode d'emploi seon les "bénéficiaires qualitatifs". De toutes façons selon les témoins de Jehova il n'y avait que 100;000 entrées disponibles à la porte du paradis et depuis le temps qu'ils nous réveillent le dimanche matin il ne devrait plus rester beaucoup de "pass" pour ce festival !

    Donc examinons le contenu présumé de ce kit :

    D'abord préciser que c'est un modèle standard, pour le commun des mortels, "Monsieur Tout le monde" comme on dit.

    Il y a d'autres kits mieux fournis mais c'est pour les riches et leurs larbins.

    Dans tous les kits vous trouverez des pastilles d'iode pour vous protéger des radiations, attention certaines de ces pastilles (surprise) vous emmèneront directement au septième ciel, non ce n'est via du Viagra mais bien du cyanure, cela ne concerne que les kits basiques pour les pas riches.

    Donc dans ces kits il y aura le minimum de systèmes vous permettant de vous adapter quelques jours à la situation, attention certains kits n'auront pas du cyanure mais du bromure comme on donne aux militaires pour les empêcher de bander, disons : une proportion de 5 sur 10. Car il faut bien qu'il reste quelques personnes en vie pour creuser les tombes des 50 % des "pas riches"et des riches qui, accidentellement, seraient quand même décédés de par les dégats causés par les missiles et autres bombes atomiques.

    Revenons à notre kit basique (tout en imaginant que la guerre pourrait s'éterniser).

    En fait je crois que cela ne durera guère (avec un seul R). Et que - avec ou sans kit - tout le monde y compris une bonne partie des riches disparaîtra de la terre, les animaux mourront aussi, il n'y aura plus des humains qu'Elon Musk, Trump, Poutine et Zelenski sur orbite jouant au poker menteur dans une station spatiale internatinale. Pas de femmes à bord, donc - à terme - il n'y aura plus d'humain dans notre galaxie.

    Pessimiste moi ? Si peu. Et vous ?

    Allez, bonne nuit quand même !

    Et bonne semaine ?
     

     

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  • 12 sept 2024 la fin du PTB ?

    Ci dessous un article de la Meuse du 12 septembre 2024

     

    12 siègfes en moins pour le PTB dans ces trois communes où la parti a décidé de ne plus préqenter de listes aux prochaines communale !

    Et combien de sièges en moins là où le parti présentera quand même des listes sachat que le PTB accusait 2 % de moins aux fédérales du 9 juin en Province de Liège ?  On verra cela au niveau du scrutin provincial.

    Le stuut dans ce oarti est que ses sections ne disposent d'aucune autonomie (ni moyens) tant pour la politique locale que pour la formation de listes. C'est un manque de confiance des "gros bonnets" du Parti dont le responsable de Seraing pour n'en citer qu'un.

    A Oupeye le parti "double" presque son nombre de candidats, 5 au lieu de 3 ! Mais encore loin d'une liste complète (29 sièges). En supposant que le PTB conserve son capital de 2174 voix (ce dont je me permets de douter, déjà qu'il n'aura plus la mienne ni celles de mes proches), qu'en fera-t-il ?

    Est-ce quel'on verra ses militants à l'écoute des gens dans certains quartiers comme le mien (Houtain), Hermée et Heure le Romain ? Est-ce que les nouveaux élus potentiels s'impliqueront dans les questions de la mobilité et  de la main-mise du secteur immobilier sur nos campagnes : est-ce que le PTB daigneait envoyer ne fut-ce qu'un citoyen non élu aux travaux de la CCATM ?

    je prédis, avec tristesse, l'érosion rapide du vote à gauche tant en Wallonie que des ses communes dites "populaires", y compris donc à Oupeye

     

    Coup dur pour le PTB : le parti ne présentera pas de listes lors des élections communales à Flémalle, Grâce-Hollogne et Visé !

     

    Mauvaise nouvelle pour le PTB, il n’a pas réussi à réunir suffisamment de bons candidats pour constituer une liste complète dans trois communes où il avait pourtant bien réussi en 2018. 18 % des voix à Flémalle, 19 % à Grâce-Hollogne et 10 % à Visé sont à répartir.

    Emmanuel Nihon (Visé), Valérie Heuchamps (Flémalle) et Céline Dolsek (Grâce-Holllogne), les trois têtes de liste PTB en 2018.

    Emmanuel Nihon (Visé), Valérie Heuchamps (Flémalle) et Céline Dolsek (Grâce-Holllogne), les trois têtes de liste PTB en 2018. - S.P.

     

    Par Luc Gochel Journaliste à La MeusePublié le 12/09/2024 à 05:01

    C’est un coup dur pour le Parti des Travailleurs de Belgique. Après s’être bien implanté dans trois communes de la ceinture de Liège, il doit aujourd’hui renoncer à y déposer une liste pour le 13 octobre car les trois sections locales n’ont pas réussi à trouver suffisamment de bons candidats.

    18 % à Flémalle

    À Flémalle où le PTB avait engrangé 17,89 % des voix en 2018 (+11,56 % par rapport à 2012) et obtenu cinq sièges (+4), c’est la cheffe de groupe Valérie Heuchamps qui vient de l’annoncer.

    « Pour des raisons strictement privées et familiales, je vais déménager vers Liège et je ne pourrai donc plus être conseillère communale à Flémalle, nous explique-t-elle. La section locale a connu aussi quelques soubresauts. Il y a actuellement plusieurs jeunes motivés qui sont arrivés mais il est trop tôt pour qu’ils puissent porter une nouvelle liste. Le PTB a toujours voulu présenter des listes solides et il ne veut pas prendre de risques. »

    Ceci dit, Valérie Heuchamps ne quitte pas complètement la politique puisqu’elle sera tête de liste PTB aux provinciales sur le canton de Flémalle/Saint-Nicolas. Pour le scrutin provincial, il faut seulement être domicilié dans la province.

    Que vont faire leurs électeurs dans l’isoloir le 13 octobre prochain ? 

    Mais que vont faire désormais ses 2.773 électeurs flémallois qui avaient coché la case PTB en 2018 ? « Moi, je ne donne aucune consigne de votes en tout cas. Simplement, peut-être choisir les candidats qui leur sembleront les plus proches des combats menés par le PTB. Mais sans plus. »

    Du côté de la bourgmestre de Flémalle, Sophie Thémont, on ne fait qu’un commentaire laconique : « Nous espérons conserver notre majorité absolue de 17 sièges sur 29 », nous dit-elle. Mais il est clair que c’est le Parti Socialiste qui devrait profiter le plus de ce désengagement du PTB.

    10 % à Visé

    Même scénario du côté de Visé où le PTB se présentait pour la première fois en 2018 et avait d’emblée engrangé 10,05 % des voix et obtenu deux sièges. Là, c’est Emmanuel Nihon, le chef de groupe, qui a annoncé sa non-représentation sur Facebook. « Et par conséquent, il n’y aura pas de liste PTB sur la commune cette fois-ci, ajoute-t-il. Pour des raisons privées, je ne renouvellerai pas mon mandat. Néanmoins mon cœur et mon engagement pour le PTB sont toujours intacts. »

    Dans chacune des trois communes, le PTB compte bien revenir dans le jeu politique dans six ans

    Il ajoute que son but est de continuer à grandir et renforcer la section visétoise du PTB « de sorte à pouvoir être dans de meilleures conditions pour, si tout va bien, redéposer une liste dans 6 ans. »

    En attendant, que vont faire les 1.096 électeurs visétois qui ont voté pour la liste PTB ? Théoriquement ici aussi, ils devraient en majorité rejoindre le PS mais ils pourraient aussi voter pour Visons Demain (Ecolo) ou voter blanc.

    19 % à Grâce-Hollogne

     

    Si à Flémalle et Visé, il s’agit plutôt d’une surprise, par contre on s’y attendait à Grâce-Hollogne. Après avoir réalisé une entrée tonitruante au conseil en 2018 avec 19 % des voix et cinq conseillers, très vite l’un d’entre eux avait démissionné. Puis c’est la cheffe de groupe, Céline Dolsek, qui avait déménagé dans une autre commune avant qu’une conseillère ne passe au PS et qu’un autre conseiller ne démissionne à son tour. Au point qu’aujourd’hui, il n’en reste plus qu’un seul.

    Ici aussi, la section locale n’est pas prête à présenter une liste complète de candidats. Que vont faire, dès lors, leurs 2.377 électeurs de 2018 une fois dans l’isoloir ? Bien malins sont ceux qui pourraient le prédire tant la politique communale grâcieuse-hollognoise a été chamboulée ces dernières années…

  • Mes votes le 13 octobre

    Et c'est reparti pour un coup de manivelle !

    Le 13 octobre 2024 on vote en Belgique pour les Provinces et les communes.

    En Flandre le vote à ces scrutins ne sera plus obligatoire. Ce qui me fait dire qu'il y a donc un fameux coup de canif dans la Constitution de notre pays. Les flamands auront la possibilité de faire la grasse matinée sans risque d'une amende. Il n'y avait pas jusquà ce jour eu d'amendes pour les non-votants mais bien pour les assesseurs convoqués et défaillants sans motif valable. Ce petit détail pourrait invalider les élections au niveau du Conseil d'Etat. Enfin je suppose, que les légalistes me contredisent.

    Attention que l'on a perdu de fortes sommes à chaque scrutin en ne faisant pas payer les non-votants volontaires, et comme ce nombre dépassait déjà le million aux derniers scrutins on imagine vite le manque à gagner. D'ailleurs je crois qu'en Wallonie (mon petit doigt me le dit) on risque d'enfin appliquer la Loi, je dis çà, je dis rien.

    Enfin... 

    Comme à chaque scrutin j'invite mes amis et connaissances sur mon site et sur Facebook à connaître mes choix et, qui sait, à leur tour voter comme moi.

    Cette année je suis bien embêté. Mes votes sont acquis depuis chaque scrutin depuis de nombreuses années au PTB, Cette année je peux déjà dire que je voterai PTB à l'élection provinciale. C'est un vote à haute valeur politique, il permet d'estimer la popularité de ce parti au niveau de l'ensemble du pays (sauf la Province du Luxembourg au grand dam de quelques amis vivant là qui voteront quand même, j'espère, à gauche - s'il y en a)

    Pour les communales je reste perplexe.

    Autant j'appelle mes amis et camarades à voter dans les communes où le PTB présentera des listes (en éspérant qu'il y en aura plus qu'aux dernières élections en 2018,) autant je suis triste de ne pas voter pour le PTB cette année dans ma commune à Oupeye. Je pense que, par dépit, je voterai pour un des candidats de la liste écolo.

    Je n'appelle plus donc mes amis et camarades à ne plus voter pour le PTB d'Oupeye qui, en six ans, n'a rien produit de tangible avec ses trois élus donr un "excusé" au conseil communal depuis bien 5 années. Et comme le PTB n'avait pas de remplaçants si le gaillard démissionnait de son mandat ce dernier serait revenu à un autre parti au conseil, minant encore un peu plus le PTB local tout en l'appauvrissant d'une partie des jetons de présence dont l'individu aurait pu, par sa présence, promériter !

    Je souhaite un bon week-end ensoleillé à mes ex-amis du PTB sur Facebook à l'occasion de Manifiesta à Ostende ce week-end, là sur les pages et profils on les voit à l'action posant ostensiblement pour la galerie. Ce qui change de leurs  premières années au Conseil Communal d'Oupeye où ils sont trop souvent abstenus en négligeant de justifier leur(s) positions (ce qui eut un bel effet de manche comme on dit pour les avocats en plaiodoiries).

    J'attend le retour de deux invitations que j'ai faites hier à deux des candidats du PTB à Oupeye, j'avais déjà été "liquidé" sur le réseau par la présidente de section et par un autre élu (qui ne se présente plus cette année) et un candidat du 13 octobre qui resta longtemps dans ma liste d'amis FB, et qui "likait"souvent mes posts puis tout à coup, il y a quelques jours (rappelé à l'ordre sans doute) il m'a "offté" de sa liste d'amis. On verra comment réagiront les deux autres prersonnes, s'ils accepteront mes invitations... Mystère !

    C'est triste d'en arriver là, je sais, mais comme on dit aussi "on ne me fera pas un second trou de balle".  

    Le 13 octobre votez bien mais surtout VOTEZ !

  • Communales 24 à ANS

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    Et oui,c'est bizarre de voir ce genre de pub sur mon blog, c'est pourtant ce que je fais pour soutenir cette même camarade socialiste (une vraie) avec qui le communiste (de coeur) que j'étais encore vivait à Cheratte.

    Etant aux premières loges (pas maçonniques je le précise) j'ai vu Myriam à l'action avant et durant la campagne électorale à Cheratte (octobre 2006), elle a payé cash (sans retrour de la monnaie) pour son parti en figurant dans le "ventre mou" de la liste aux communales. Elle a tenu les permanences sociales du PS, a été présente dans toutes les activités des comités de fête de tout Visé, toujours très active, ayant tout donné elle a failli ne pas pouvoir aller voter vu ses douleurs lombalgiques intenses le jour J.

    Elle a pu aller voter quand même sans pouvoir être présente de corps près du bureau de vote pour faire comme les autres "être proche des électeurs". Myriam a récolté le plus bas score au PS en voix de préférence sur le grand Visé : 66 si je me souviens bien. Visiblement il y avait eu au sein du PS des consignes données de ne pas voter pour Myriam. On a vu d'autres de ses colistiers qui ne se sont pas impliqués dans la campagne (voir même qui ne vivaient pas effectivement sur la commune) où que personne ne connaissait faire le double de voix de Myriam. Il fallait qu'elle ne soit pas élue, Ou du moins qu'elle obtienne le minimum de voix de préférence. 

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    Pourquoi, et c'est là qu'on me dira que la politique c'est une sacrée merde ?

    Il y avait un accord au sein du PS ,signifiant que pour me maintenir comme conseiller au CPAS de Visé il fallait que Myriam obtienne un bon score. Même si par opportunisme j'ai à cette occasion pris ma carte au PS je n'étais d'ailleurs pas le seul héritier politique de Marcel Levaux à le faire, je l'ai rendue au lendemain de ces élections). Forcément je n'ai pas été renouvelé dans mon mandat même si on m'a donné une cacahuette au conseil du Centre Culturel de Visé. Il faut aussi savoir que mon mandat au CPAS (2000 à 2006) avait été obtenu en réunion (discrète) du PS et du Parti Communiste, une anticipation comme Marcel Levaux était un pillier, d'une Union des Progressistes. L'accord disait que si les candidats PC amenaient une femme pour la parité (Marcel lui-même était dernier de liste) et Francis Theunissent était élu avec plus de voix qu'aux élections précédentes, le PC obtenait donc mon siège. Ce qui se passa.

    Myriam dont on avait peu vu ses affiches : les colleurs du PS prenant soin d'oublier sur son tas les affiches de ma compagne. Gros paquet qu'on a d'ailleurs retrouvé dans les sous-sols du "Cherratti" le coeur du PS de Visé après les élections. Elle n'a rien obtenu en échange sinon l'effet des larmes de crocodiles de certains socialistes amis de "papa".

    A la Brocante de la Fête de Cheratte-bas Myriam s'était investie pour faire devant chez nous un stand avec divers articles mais surtout une animation chantante avec ses amis d'un groupe musical tournant dans hômes, maisons de repos et goûters des pensionnés PS dans toute la Basse Meuse. Là au moins, sur notre maison de la rue de Visé on voyait l'affiche de myriam mais aussi celles de deux camarades très proche sur la liste devenus plus tard... échevins à la Ville de Visé, alliés avec le MR... tiens donc !

    Aux mêmes élections à Chaudfontaine, mon ex épouse, Claire, obtint le plus mauvais score de sa liste dont j'ai oublié le nom où elle était trésorière et impliquée dans la politique locale. Comme quoi je leur ai porté la poisse !

    Bon,cette année j'espère que Myriam recevra un max de voix et fera fi des consignes imbéciles communes à tous les partis proches du pouvoir. Là où la lutte des places a remplacé la lutte des classes. J'espère avoir des amis et connaissances à Ans qui me liront, je les remercie d'avance pour que Myriam ne soit plus mise aux oubliettes.

    15 août 2024.

    Jacques Chevalier

     

  • 7 juin 24, Macron prépare une longue 3ème guerre mondiale !

    C'est parti pour au moins cinq années de plus dans la guerre qui oppose les "alliés" aux méchants russes. C'est pas moi qui dit cela mais Macron qui veut former durant cinq ans des nouveaux pilotes ukrainiens pour liquider ses vieux avions "Rafale" - donnés (?) - à Zelenski comme souvenir des 80 ans du débarquement en Normandie par la France. Sans tenir compte de l'avis des cochons de payeurs, à savoir nos voisins Français.

    Cinq années de massacres de civils et militaires de toutes nationalités confondues De toutes façons "le sang sèche vite en entrant dans l'Histoire".

    En Belgique on ne va pas - encore - si loin : on liquide nos vieux F16 en espérant qu'il reste encore des pilotes capables en Ukraine, quittreà les former aux Pays-Bas ou plus au nord. On donne des armes et du matériel de Génie comme nos ponts flottants (au détriment de notre population sinistrée par les récentes innondations de mai. On ravitaille en munitions et armements légers l'état major du petit roi d'Ukraine...

    Mais çà ne coûte rien ! Oufti !

    Tout  ce que le gouvernement a "donné" à l'Ukraine ne nous aurait pas coûté un kopek puisque payé avec lintérêts  - bancaires - orchestrés en Belgique pour blanchir les sommes détournées par les "oligarques" russes;

    On dépasse le milliard en moins de deux ans, pas mal comme intérêts, le capital saisi est alors de combien ?

    Si la Belgique paye sa solidarité avec de l'argent sale fabriqué en Belgique, elle pourrait aussi saisir ce fameux pactole dont il n'y a pas moyen d'estimer la valeur, et puis ,de toutes façons, il parait que l'Europe interdirait la saisie du capital. C'est vrai qu'à long terme les intérêts devraient dans quelques années dépasser la valeur totale, le capital de ce qui est - on peut le dire - une fameuse fraude fiscale !

    Tiens, depuis quelques semaines, dans les différents débats préelectotraux on ne parle plus d'aller chercher (ou du moins d'empêcher, la fuite des capitaux belges dans les paradis fiscaux.

    Rappel : pour les olligarques russes, la Belgique était un paradis fiscal !

    Bon... on continuera, comme Macron, à s'engager  5 ans pour aider les Ukrainiens. La solidarité avec les femmes et enfants (et quelques hommes quand même) ont trouvé asile chez nous pour y mener une vie conforme à la dignité humaine (via nos CPAS qui criaient déjà leur misère avant cette guerre.)

    De ce que j'en sais là où j'habite les autorités locales, principalement les assistants sociaux du CPAS d'Oupeye, cherchent des appartements à louer pour les Ukrainiennes ! Notez qu'avec tout ce que l'on construit chez nous comme appartements de "standing" et de luxe pour réfugiés climatiques venant de Hollande dans quelques années, il devrait y avoir moyen de caser ces réfugiés de guerre au moins pour 5 ans, si l'on applique le modèle "macronique", ne pas confondre (quoique !) avec le modèle maçonique (qui se porte si bien, à gauche comme à droite, en Basse-Meuse Liégeoise...

    Moi je n'ai rien contre l'accueil des Ukainiennes et leurs enfants comme nous avons eu il y a cinquante ans les vietnamiens, les chiliens, par contre pour ceux qui viennent d'Afrique et d'autres pays de l'Est (hors l'Ukraine depuis  ans) c'est paupérisation organisée, centres fermés, déportations.

    Non.. non ! Nous ne sommes pas (encore) dans un état fasciste. Oser même le penser devient une forme de "populisme". A bannir ! (Tiens donc).

    Ce dimanche, en parcourant le torchon de ce matin (SudPresse) on remarque que les dés sont déjà jetés et qu'avant même que nous votions on connait les futurs gouvernements, au régional Wallon : PS + MR + Engagés (on ne parle pas du PTB et ses électeurs n'ont pas voix au chapitre) à Bruxelles c'est moins évident, le parti donné 2 ème après le MR se retrouverait dans l'opposition au profit d'une sainte alliance des démocrates de tous poils, même la NVA, pour contrer les vilaines gens du PTB et leurs électeurs. En Flandre ce serait aussi une association refusant le partage du pouvoir avec le Belang et le PVDA (PTB en Flandre).

    On va donc en revenir avec la théorie fataliste du vote utile, la mise en avant des pôles majeurs : socialistes et assimilés (sauf PTB) - Libéraux de tous poils. Donc il ne servirait plus à rien d'aller voter dimanche puisque les cartes sont distribuées. De voter PTB-PVDA puisque pas représentatifs ni à gauche ni à droite .

    Je réponds non à cela : il faut justement empêcher que les socialistes négocient à la baisse les points importants pour les gens de leur programme (copiés sur le PTB d'ailleurs). Il faut donc renforcer le vote pour le PTB-PVDA pour provoquer la rupture tel que préconisée par le PTB depuis bien avant la campagne électorale (D'ailleurs j'ai vu ce matin dans  - dans le torchon - un article où le titre est : "Christie Morréale PS): la continuité... dans la rupture".)

    Dimanche votez : 8 - PTB-PVDA. 

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  • Où est le PTB d'Oupeye ?

    Mais où est donc passé le PTB d'Oupeye ?

    On va encore me dire que je ne sais faire que critiquer négativement le PTB et particulièrement sa section d'Oupeye où j'habite.

    J'ai voté PTB les dernières élections et les précédentes tant pour la Chambre que la Région et l'Europe mais aussi aux Communales.
    Avec mon épouse j'ai participé à plusieurs réunions publiques et commision de travail sur le programe local du parti da l'arrière salle d'un bistrot de Hermalle.

    J'ai mis des affiches PTB aux fenêtres de ma maison à l'ancien presbytère de Houtain-Saint-Siméon où je vis.

    J'ai proposé à de multiples occasions d'aider les futurs élus sur base de mon expérience en tant que conseiller au CPAS de Visé de 2000 à 2006, on ne m'a pas écouté, on nous a mis, Annick et moi à l'index tourné vers le mur.

    Je me suis étonné de ne pas voir des membres du PTB d'Oupeye s'engager à la Commission Communale d'Aménagement du Territoire et de la Mobilité, pourtant il n'y avait pas d'élection à ce niveau, c'était accessible à n'importe quel citoyen.

    Là pourtant on est courant des divers projets qui concernent directement tous les quartiers. Dernièrement, j'ai participé dans mon village aux rencontres citoyennes organisées par le collège communal, à nouveau personne du PTB à l'horizon.

    Et pourtant le PTB compte 3 élus (dont un perpétuellement excusé) et avec son score aux dernières élections s'il avait présenté une liste plus fournies le PTB d'Oupeye aurait pu compte 4 à 5 élus. Mais la direction régionale du PTB n'a pas voulu présenter des candidats novices en politique ou non-membres du Parti. Pas de candidats d'Ouverture. (c'est vrai que l'expérience douloureuse du PTB-GO au niveau fédéral en a dégoûté plus d'un à gauche...);

    Même si les deux autres élus ont participé souvent aux séances du conseil communal ils se sont abstenus très régulièrement sans justifier cette abstention.

    Pourtant le PTB n'a pas été totalement inactif mais c'est bien peu de choses en six ans. Une pétition sur la mobilité avec même pas 50 signatures (dont la mienne), une oage Facebook très peu achalandée, ainsi sur cette page il n'y a que l'annonce de la conférence d'il y a deux ou trois mois à Hermalle avec aucune suite, aucun rapport (un flop je présume). Durant la crise du Covid le PTB s'est montré devant les maisons de repos et a offert je crois, une fleur aux membres des personnels, poussé la chansonnette aussi.

    Plus récemment la locale du PTB s'est investie devant le Delhaize d'Haccourt "en solidarité avec les travailleurs" mais peu ou pas de retour dans les médias qui ne se déplacent rarement pour une banderole et trois drapeaux...

    Bon, je pourrais en remettre quelques couches, je ne le fais pas, je veux seulement poser quelques questions à propos des élections de dimanche et celle d'octobre; 

    Etant entendu que (par abnégation) je voterai PTB ce dimance-ci pour favoriser le rapport de forces à gauche.-, j'aimerai en savoir un peu plus sur les deux candidats PTB d'Oupeye aux régionales : Adil CHAKIR et Rachel JANVIER. Si le second fait encore partie de mes amis sur Facebook, c'est nada pour la candidate suppléante.

    J'aimerai savoir ce qu'a fait Laure LEKANE députée Régionale à Namur depuis les  dernières élections ? Je n'ai rien vu dans la presse ni lu quoi que soit sur le sujet sur les sites et groupes Facebook du PTB.

    On a apris récemment que tant Laure LEKANE que Kevin TIHON ne seraient pas sur les listes du 9 juin pour raisons professionnelles et "personnelles", je pense que tous deux travaillent comme attachés au groupe PTB au Parlement à Namur ce qui devrait à mon sens s'avérer plus facile pour se présenter aux élections (sans même y siéger après...). Je pense qu'il y a d'autres raisons. Je sais on me dira que je fabule.

    Alors tant Laure que Kévin seront-ils présents aux communales pour le PTB à Oupeye (ou ailleurs...) Et en sera-t-il de même pour Adil et Rachel ?

    Je ne sais pas encore dire si je voterai PTB en octobre.

    Y aura-t-il d'ailleurs une liste PTB à Oupeye aux communales ?

    Bon ceci dit j'ai trouvé quand même via Facebook un appel à tous les sympathisants du PTB d'Oupeye et plus largement des autres communes de la Basse-Meuse dont et à Herstal. C'est l'image si dessous en illustration de ce blog;.

    Bon, comme affiche électorale on aurait pu trouver mieux, je sais je suis mesquin !

    Vous pouvez commenter sur ce blog et sur l'annonce déposée sur mon Facebook.

     

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  • 1 million de râleurs gratuits

    Oip

    Si ,comme aux dernières élections, il y aura près (voire plus) d'un million d'abstentionnistes non justifiés en Belgique, cela m'interpelle...Et vous ?

    C'est vrai que même si le vote est obligatoire, l'abstention injustifiée est rarement sanctionnée, seuls quelques assesseurs absents risquent de payer effectivement une amende de 250 euros, çà dépend des arrondissements et on ne sait pourquoi exactement.

    Ansi donc on peut s'attendre à 1 million (à la grosse louche) de belges qui n'iront pas voter, trouveront con de se déplacer un dimanche pour çà. D'autant plus que depuis un certain temps, même il y a bien longtemps, je ne sais pas quand la dernière fois qu'on a appliqué la Loi, ce qui pour les élections à venir il y a pour les fautifs une amende de 40 à 80 euros . A noter que si la Loi n'st pas encore appliquée cette année cela fera(it) entre 40 et 80 millions d'euros qui n'iront pas dans la caisse de l'Etat.

    On me dira que c'est une somme ridicule, difficile et coûteuse à percevoir, pourtant il me semble que le produit des amendes pourrait payer l'organisation des élections, on donnerait par exemple un peu plus que les ridicules 25 euros prévus aux assesseurs. Ce serait plus motivant pour eux il me semble. C'est une idée comme un autre.

    Ne pas aller voter et râler sur les gouvernements qui s'en suivent, pour moi cela n'a pas de sens. Voter c'est en droit qu'il a fallu des dizaines d'années à conquérir, surtout pour les femmes trois après la seconde guerre mondiale.

    Perso je défendrai jusqu'à ma mort le principe du vote obligatoire même si je sais que le découpage en arrondissements électoraux pour les élections fédérales et régionales ne favorrise pas la proportionnelle selon où on est domicilié(e).

    Bon il me faudra, comme à chaque fois depuis que je suis sur Facebook, vous indiquer mes intentions de vote, je le ferai le 7 ou le 8 juin. Pour le moment ce qui compte pour moi est de conseiller à tous mes amis, qu'ils soient sur Facebook ou non, d'aller voter le 9 juin (En Belgique pour les Belges, en France pour les Français...etc.)

    Voila j'espère lire vos commentaires ici ou sur FB !

  • QeR ?

    QeR ?

    Qui est riche en Belgique ?

    A partir de quel montant annuel de ressources ?

    Qui fait partie de la "classe moyenne", à partir de quel montant on y est et jusqu'au plus (avant d'être "riche") ?

    La taxe des millionnaires, slogan du PTB depuis 2009, établissait la fortune taxable en plus que la normale à des "revenus" dès 1 million d'euros par an. A la veille des élections du 9 juin 2024 le PTB monte à 5 millions le seuil à partir du quel on est considéré comme riche et devant payer une taxe supplémentaire de 2 % (3 % pour les fortunes de plus de 10 millions. Est-ce dire que la classe moyenne a bénéficié jusqu'5 fois plus de moyens d'existence.ut aussi savoir - vu dans le programme du PTB - que 41 familles belges détiennent chacune au moins un milliard d'euros, là ce sont les vraiment super-riches.

    Donc la classe dite "moyenne" en revenus s'est élargie de moins de 1 millions d'euros à 5 millions en 15 ans.

    Est-ce dire alors que la classe moyenne a bénéficié jusqu'5 fois plus de moyens d'existence.

    Et les pauvres de 2009, ceux qui se situaient à l'inverse de ceux riches et leur premier million, et donc moins que la classe moyenne auraient-ils pu pouvoir vivre avec 5 fois plus de revenus ?

    En 2009, en tant qu'employé, vivant seul, bas de gamme je touchais en net environ 19.000 € par an sans être propriétaire et n'ayant pas d'économies. En 2024 je devrais donc toucher au moins 5 fois ce que j'avais en 2009 soit : 90..000 euros par an.

    Or en 2024 nous touchons pour mon épouse et moi (avec en prime son allocation de handicapée) un total de 2500  euros par mois ce qui fait environ 30.000 euros par an. Cela fait un différentiel sur ce qui est dit plus haut de 60.00 euros/an non perçus tout cela en net.

    Par rapport au RIS ou au "seuil de pauvreté" nous nous situons juste un peu au dessus, on peut dire pourtant que nous faisons partie des personnes de la classe moyenne les plus faibles. Je reconnais que nous ne sommes pas très taxés (vu que c'est pour deux personnes dont une fortement handicapée).

    Alors comment est-on de "la classe moyenne" quand on possède 999.999 euros et moins par an ?

    De dirais même plus quand le maximum envisagé par le PTB pour la "classe moyenne" est de 5 millions/an avant de passer à la taxatuon des riches.

    Qui voudra bien éclairer ma lanterne et débattre avec moi sur le sujet ?

    Jacques CHEVALIER

  • Blog à Jak 8 avril 2024

    OUPEYE ! LE MYSTERE ENFIN ECLAIRCI !

    Depuis la publication par le PTB régional liégeois les Oupeyens pouvaient voir que Kevin Tihon, présenté en janvier 2024 comme 4 ème effectif à la région, et Laure Lekane, députée régionale, tous deux conseillers communaux à Oupeye n'appareissaient plus sur la grille de départ du PTB pour les écections du 9 juin 2024.

    Ce lundi 8 avril un article publié dans la Meuse (voir ci dessous, cliquez dessus pour le voir + grand) on découvre le comment du pourquoi et inversément ainsi que les noms des Oupeyens titulaires et suppléants du PTB pour le 9 juin :

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  • Blog à Jak 7 avril 2024

    WOKISME ET/OU POPULISME ?  C'EST LA QUESTION !

    Hier dans le journal La Meuse il y avait un gros titre à la une :

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    Moi cela m'a interpellé, j'avais déjà entendu le mot Wokisme mais j'ignorais ce qu'il voulait dire, comme je pense la plupart des lecteurs de La Meuse et même des anciens électeurs de mon ex-"camarade" Bernard Wesphael. Alors je me suis pencché sur Google et j'ai trouvé ceci...

    C’est quoi, le wokisme ?

    Apparu en français en 2015, le mot wokisme désigne de manière péjorative un courant de pensée, une idéologie, qui se veut progressiste, qui lutte pour une certaine conception de la justice sociale, à travers la défense de diverses causes. Mais la réalité même de ce courant de pensée est discutable, tant le mot wokisme est employé à tout-va, à la manière d’un épouvantail, pour discréditer des adversaires supposés.

    Ce mot, synonyme de culture woke (calqué sur l’expression anglaise équivalente), est en effet employé par les adversaires de ce courant de pensée : personne ne se revendique wokiste. C’est une arme de propagande, servant à mettre hors jeu les personnes souhaitant débattre de thèmes relatifs aux inégalités.

    On englobe dans la notion flottante de wokisme plusieurs luttes sociales autour de questions d’égalité, de justice, de défense des minorités : lutte contre le racisme, contre le sexisme, pour les droits des LGBT+ et de diverses minorités. Certains modes d’action discutables, comme la censure, la réévaluation du passé avec le point de vue d’aujourd’hui (cancel culture), les campagnes de harcèlement en ligne, ont d’abord été mis en lumière pour critiquer ces luttes ; après quoi la critique du wokisme s’est déportée de cela pour devenir une critique des idées progressistes en général, ancrées à gauche.

    D’où vient le mot wokisme ?

    Le mot wokisme est formé à partir du mot woke et du suffixe -isme, qui sert dans certains cas à former des mots péjoratifs. Woke, mot emprunté à l’anglais au milieu des années 2010, désigne une personne ayant conscience des inégalités sociales et luttant pour un monde plus juste. Ce mot, qui sert toujours d’étendard pour les personnes qui se reconnaissent dedans, acquiert progressivement une connotation péjorative depuis la fin des années 2010.

    En anglais, le mot woke, participe passé du verbe to wake (« (s’)éveiller »), veut dire littéralement « éveillé » et par extension « conscient ». Dans l’argot des Africains-Américains, il a pris le sens spécifique de « lucide face aux problèmes sociaux que rencontrent les Noirs ».

    La formule stay woke, qui signifie littéralement « reste(r) éveillé », a été popularisée en 2013 lors du mouvement Black Lives Matter, mais aussi via une chanson de Erykah Badu sortie en 2008, dans laquelle elle répète « I stay woke » (« je reste vigilante, je reste lucide »).

    En anglais, l’emploi du terme s’est ensuite étendu à d’autres thématiques que les questions raciales, comme le harcèlement sexuel, l’immigration, l’identité de genre. Ce mot a acquis en anglais une teinte péjorative lorsqu’il a été repris par les militants de Donald Trump, pour dénigrer le camp d’en face.

     

    Bon on est bien avancé, je comprends cela à ma sauce : je suis un vilain wokiste comme j'étais déjà un populiste en votant pour le PTB. Mes idées sont "de gauche" mais on m'envoit en miroir une photographie péjorative.

    Dans le cas de l'interview de Bernard je crois comprendre que tant ECOLO que lui ont des bonnes idées "de gauche" mais celles défendues par Ecolo seraient, si je comprends bien, négatives. Mais au fait, il se situe où le Nanard dans tout ce tric-trac sémantique ?

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  • BLANCO OU DEMAGO ?

    Article du VIF du 12 mars 24 :

    Elections 2024 : Blanco, parti des abstentionnistes, présente 11 listes pour la Chambre

    12 mars 2024 

    Par Jean-François Noulet, avec L. Henrard et Belga

     

    Blanco, c’est le nom de ce nouveau parti qui a présenté ses listes ce mardi. Blanco a réussi son pari de présenter une liste de candidats dans chacune des 11 circonscriptions électorales, pour les élections à la Chambre en juin prochain.

    Ce parti entend représenter ceux qui seraient tentés de voter blanc, de voter nul ou de s’abstenir. En 2019, lors des dernières élections législatives, quasi un électeur sur cinq (17%) était dans ces conditions, soit 1.4 millions d’électeurs.

    Objectif du parti, décrocher un siège pour représenter ces électeurs. "L’idée, c’est de les représenter cinq années durant […] et surtout de travailler sur une modification de la loi électorale de la Constitution pour non plus, en 2029, devoir voter à nouveau pour le parti Blanco, mais pour une nouvelle option de vote qui est le siège non attribué", explique Laurent Ryckaert, du parti Blanco. Car le seul point au programme de ce parti, c’est de modifier la Constitution pour que le vote blanc soit valable et reconnu. "Donc à côté des partis, à côté de l’option vote blanc, nous voulons l’option du siège non attribué qui remplacera de facto le parti Blanco", poursuit Laurent Ryckaert. Si la Constitution était modifiée en ce sens, le parti Blanco n’aurait plus de raison d’exister. "Ce parti Blanco sera dissous, n’existera plus au moment où nous obtiendrons l’adhésion des partis en place", poursuit Laurent Ryckaert.

    Verra-t-on un jour dans l’hémicycle de la Chambre autant des sièges de députés vides représentant les électeurs abstentionnistes ou ayant voté blanc ? En attendant cette éventualité, les députés qui seraient élus sur les listes Blanco pour la prochaine législature se croiseront le plus souvent les bras. "Pour le reste du temps, nos élus qui seront présents à la Chambre s’abstiendront lors de tout sujet, lors de tout vote, que ce soit en commission, en plénière, ils ne témoigneront que l’abstention comme signe, comme le ferait un siège non attribué. Un siège vide ne va jamais appuyer pour ou contre, il ne peut que s’abstenir. Par contre, il existe bel et bien", explique Laurent Ryckaert.

    Selon ses fondateurs, l’idée du parti Blanco qui est née d’un compte Twitter et d’une page web, s’est transformée en rencontres à travers le pays en 2023 et a rencontré suffisamment de personnes intéressées pour inscrire 120 candidats sur des listes électorales dans les 11 circonscriptions pour la Chambre.

    Pour présenter ces listes, le parti a rassemblé des signatures dont celles de trois parlementaires sortants, Kristof Calvo et Barbara Creemers de Groen, et Nathalie Dewulf du Vlaams Belang.

    QUE PENSEZ-VOUS DE CETTE INFORMATION ?

    ALLEZ-VOUS VOTER POUR CE PARTI QUI N'EN N'EST PAS UN ? ECRIVEZ VOTRE AVIS EN COMMENTAIRES DE CE BLOG OU/ET SUR MA PAGE FACEBOOK. MERCI

  • 18 février 2024 ULB

    Annemie Schaus épingle la Vivaldi après avoir dû faire appel aux autorités pour évacuer de nombreux demandeurs d’asile du campus du Solbosch vendredi 16 février.

    Annemie Schaus épingle la Vivaldi après avoir dû faire appel aux autorités pour évacuer de nombreux demandeurs d’asile du campus du Solbosch vendredi 16 février.© Photo News (montage «Le Soir»).

    Monsieur le Premier ministre, Mesdames et Messieurs les Vice-premiers ministres, ministres et secrétaires d’Etat du gouvernement fédéral,

    Je vous sais très occupés, mais vous avez certainement lu dans la presse de ce qui s’est passé ce vendredi 16 février sur le campus du Solbosch de l’Université libre de Bruxelles : plus d’une centaine de demandeurs d’asile et membres du collectif « Stop crise accueil » ont décidé d’occuper unilatéralement un bâtiment de l’université.

    Oui, encore ces demandeurs d’asile… Ceux – je mets le masculin à dessein, car ce sont pour la plupart des hommes seuls – sur le sort desquels votre gouvernement a choisi de fermer les yeux, sous le prétexte qu’il n’y aurait pas assez de place pour les accueillir. Ceux que votre gouvernement maintient encore et toujours dans la rue malgré l’arrêt en référé du Conseil d’Etat qui vous ordonnait de suspendre immédiatement cette décision contraire à la loi.

    Vous qui siégez rue de la Loi, vous souvenez-vous de ce que signifie le nom de cette artère ? Une artère vitale pour la démocratie… La Loi que vous vous êtes solennellement engagés à défendre, ainsi que la Constitution et les principes démocratiques.

    Dans quels pays voit-on un gouvernement s’asseoir sur ces principes ? Nier des milliers de décisions de justice qui vous rappellent vos obligations européennes et internationales ? Rester sourd aux appels de centaines d’académiques et de milliers de citoyennes et de citoyens qui se voient contraints d’assumer les responsabilités d’un Etat déficient ?

    En 2018, au parc Maximilien, des militants d’extrême droite sont venus provoquer les personnes qui défendaient les droits des migrants : « Si vous les aimez tant, ces migrants, accueillez-les chez vous ! » Ils avaient même publié des adresses privées, les avaient distribuées aux migrants en leur disant d’aller sonner à la porte de ces « belles âmes » pour voir si elles avaient le courage de leurs convictions. En fait, votre gouvernement ne se comporte pas autrement. En plus insidieux. Vous n’obéissez pas à la loi et, ce faisant, vous poussez les demandeurs d’asile et les associations qui les défendent de venir frapper à la porte, voire à la forcer, auprès de ceux qui ont à cœur de faire ce qu’il est possible pour les aider.

    L’ULB est en première ligne, de ce point de vue : au cœur de Bruxelles, animée par des valeurs qui devraient être les vôtres, notre université a, à plusieurs reprises, accueilli des centaines de demandeurs d’asile et leur a offert des soins et des services – toutes choses que, normalement, l’Etat doit assumer. Je rougis de devoir écrire une telle évidence : vous vous plaignez du manque de moyens dont vous souffrez… pensez-vous sérieusement que l’ULB est plus riche que l’Etat que vous gouvernez ? Mieux outillée ? Plus compétente ?

    Je suis outrée et blessée au plus profond de moi d’avoir dû, vendredi, appeler les autorités communales et la police pour libérer des bâtiments et les rendre à leur fonction première. « Le jour où le crime se pare des dépouilles de l’innocence, écrit Camus dans L’Homme révolté, par un curieux renversement qui est propre à notre temps, c’est l’innocence qui est sommée de fournir ses justifications. » En ne respectant pas les lois dont il doit être le garant, votre gouvernement est criminel. C’est la définition du crime : enfreindre la loi. Vous l’enfreignez tous les jours, et je dois, en tant que rectrice de l’ULB, aujourd’hui, me justifier. Expliquer à ma communauté, à ma fille, pourquoi j’ai dû faire évacuer des gens en détresse, alors que je me bats depuis toujours pour défendre leurs droits.

    L’extrême droite, par son talent à détourner le langage, a déjà réussi à faire des bénévoles qui se battent pour les migrants des « collaborateurs », et de ceux qui voudraient les refouler dans la mer des « résistants ». Vous lui prêtez main-forte, très forte. C’est l’ULB qu’on accuse aujourd’hui d’inhumanité, alors que la seule responsabilité incombe à votre gouvernement. Mais bien sûr, il ne serait pas possible pour les personnes que nous avons dû faire évacuer hier d’aller forcer les portes de celles et ceux qui soutiennent cette politique hors-la-loi.

    Monsieur le Premier ministre, Mesdames et Messieurs les membres du gouvernement, je sais que gouverner est difficile et que les urgences sont multiples, infinies presque. Mais votre gouvernement a mieux à faire que de donner des gages aux franges les plus extrémistes et nationalistes de notre pays. Relisez Montesquieu et quelques autres. Pensez un instant à Robert Badinter qui disait : « Le droit d’asile est l’honneur de la République ; quand elle manque au droit d’asile, elle se déshonore. » Et ne me répondez pas que nous ne sommes pas une République…

    Demain, avec toute la communauté universitaire, nous réfléchirons et trouverons les moyens d’aider au mieux les demandeurs d’asile, en attendant que vous respectiez vos obligations légales.

  • Elections 9 juin 2024 : pièges à cons ?

    Les élections sont-elles des "pièges à cons" ?

    La RTBF a commencé hier son feuilleton hebdomadaire qui tourne autour des prochaines élections (Européennes et législatives) du 9 juin 2024.

    Hier sur la Une, la soirée était construite sur un documentaire à base de micro-trottoirs à propos de la démocratie, socle des consultations populaires que sont les élections, expression des "attentes" des gens, de leur ressenti des partis et des hommes (et femmes) politiques élus et/ou candidats.

    On a pu voir dans le débat quatre représentants des partis francophones : MR, PS, Ecolos et Engagés, pas de représentants du PTB sans doute que du fait qu'il compte le même nombre délus au parlement Wallon que les Engagés il fallait choisir le quatrième à table et le hasard (?) a fait les choses ainsi.

    C'était aussi l'occasion de découvrir un nouveau parti : "BLANCO" qui veut présenter des listes tant au fédéral qu'au régional avec l'objectif de réunir les suffrages qualifiés de blancs et nuls (ç'est à dire des électeurs qui se présentent aux bureau de vote pour y renterr un "vote" dit de protestation) dont les voix non prises en compte car n'ayant pas d'élus, qui pourraient être à la proportionnelles de X mandats. Là déjà une grosse confusion puisque ses chiffres sur le total des bulletins donnant accès à la répartition des sièges se basent (pour 26 sièges !) sur le total des blancs, des nuls et du près d'un million d'abstentionnistes qui - pour nombre de raisons - ne vont pas aux urnes.

    Ce qui a l'air de faire peur aux gens c'est la perte de confiance dans tous les partis et le risqre majeur de renforcement des représentions des extrêmes : droite en Flandre avecc le Vlaamse Belang et la NVA, qualifiés de nationalistes flamands voulant en finir avec la Belgique et boutant les étrangers aux frontières. Gauche en Wallonie et à Bruxelles via le PTB qui ne veut pas de la scission de l'Etat Belge à la différence des Flamands VB et NVA (mais dans les partis dits démocatiques on ne le dit pas) mais qui serait contre la démocratie car "communiste". Le terme qui fait plus peur que "capitaliste" qui est le vrai danger mais dans lequel les nantis des pouvoirs depuis 1830 se complaisent comme autant de cochons dans leurs auges gavés à la sueur des petites gens juste utiles à perpétuer leur règne.

    On se réjouit de voir quels seront les panels des prochains QR le débat, combien de miettes ils laisseront aux citoyens qu'ils soient du PTB ou sans partis...

    Evidement il y a toujours le risque de voir monter l'extrême droite en Wallonie, c'est vrai qu'on ne le dit pas dans les médias mais il faut bien le citer sans pour autant en faire la promo, ces néo-fascistes sont en progression et leur dernier-né "Chez Nous" soutenu par les Lepen et autres fachos européens dont certains au pouvoir comme en Italie. Ce micro-parti risque bel et bien de compter quelques députés. Et le couvrir du "couvercle de la démocratie" ne fera jamais qu'augmenter sa pression.

    J'ai vu quelque part qu'en Flandre il y aurait un frère "ennemi" au Vlaams Belang, il se nommerait "Bij Ons" qui signifie "Chez Nous", ce petit groupe axerait plus son programme contre les étrangers, un peu comme Zeimour a fait en France. Le Belang pour avoir comme allié la NVA dans le projet de l'Etat Flandre modère sont attitude vis à vis des étrangers et Bij Ons sera le réceptacle des plus fascistes du Belang tout en offrant à celui-ci une vitrine plus "présentable".

    Vous voyez le danger ?

    Enfin on va me dire que je fabule, mais relisez mon post durant la campagne des élections du 9 juin, ce sera utile, je crois !

    Jacques Chevalier

  • 1 janvier 2024 - VOTER BLANCO ?

    1 janvier 2024 : BLANC C'EST BLANC, COMME NOIR C'EST NOIR !

    Cette année aux scruutins des européennes et législatives de juin en Belgique voterez-vous "Parti Blanco" ou blanc ou en rendant votre bulletin de vote invalide ou n'irez-vous pas voter ou voterez pour un parti autre que le "Parti Blanc" ? 

    Là je vous donne mon choix :

    - je voterai pour un parti en espérant qu'il prenne enfin ses responsabilités, vous avez compris c'est du PTB qu'il est question. J'ai fait exprès de ne pas poser ma question pour les communales d'octobre 2024 où je ne compte plus voter PTB car depuis 2018 ses deux élus (+ 1 trup souvent absent) n'ont pas produit grand chose sauf pour faire de la pub pour Manifiesta à Ostende. Je me souviens d'une pétition PTB à propos de la mobilté à Oupeye qui depuis 2018 n'a récolté que 43 signatures dont la mienne avant d'être gommée sur le net. Je sais bien que lorsqu'on est élu de parti dans l'opposition on a des difficultés à siéger dans les commissions communales et autre institutions para-communales et des intercommunales tout en continuant à exercer un boulot compatible avec la fonction d'élu communal. Je remarque de depuis deux ans (environ) les deux élus du PTB sont devenus des cadres à 100 % de leur parti et n'exercebrt plus leur profession initiale, même s'ils sont probablement mal payés vu les statuts de ce parti. Je n'ai pas compris pourquoi le PTB n'avait pas envoyé quelqu'un (pas besoin d'être élu là) à la Commission d'Aménagement du Territoire et de la Mobilité où j'ai siégé jusqu'au moment où ma santé m'a conduit à ne plus presque savoir me déplacer. J'en fais toujours partie même si je n'y suis plus physiquement, je reçois les PV de réunions et j'aimerai pouvoir à nouveau m'y rendre en 2024. Je n'ai pas été élu pour ce poste c'est en temps qu'habitant de la commune que je m'y suis inscrit, je suis (pour les votes) suppléant pour mon village de Houtain. A ma connaissance aucun des 20 et quelques membres de cette commission n'est membre ou proche du PTB. C'est navrant !

    Bon je reviens sur ma question initiale en vous donnant mon avis sur le nombre trop important de belges qui ne vont pas voter, 1 million et il faut aussi considérer les votes blancs et nuls. C'est vrai que ces personnes n'ont aucun pouvoir, aucune représentation dans les parlements et on sait que les votes blanc et nuls "vont"  dans le positif des plus gros partis, on peut dire la même chose pour la grande majorité de ces gens qui s'abstiennent d'aller voter parce qu'ils s'en foutent où traitent les élus de vendus et de pourris.

    Sur base de çà un mec (qui je suppose n'a pas voté pour un parti aux dernières élections a lancé un nouvea parti "blanco" sans le moindre programme exigeant de ses candidats, s'ils sont élus, de s'abstenir pour les votes ou être "excusés" pour ainsi donner un peu de pouvoir à ce gros million de belges qu'il voudrait conquérir..

    Sachant que les médias (et les partis dits (par eux-mêmes) "démocratiques" n'en finissent pas de comparer le PTB et le Vlaams Belang à une appeltion commune "d'extrêmes, dangereux pour la démocratie". Voter pour eux serait perdre sa voix et favoriserait les petits Hitler et Staline qui dorment en eux. 

    Cela me fait dire que ce fameux nouveau "Parti Blanco" pourrait bien servir ces mêmes partis traditionnels en permettant aux gens qui veulent pas voter pour les partis dits non-démocratique, de reporter leurs choix sur ce troisième larron qui, à mon sens, n'est absolument pas démocratique. En fait je ne sais pas si ce nouveau parti a un équivalent en Flandre, par contre il devrait être présent au moins en Wallonie.

    Le stuut c'est de pouvoir dès maintenant estimer que ce parti ait un succès de foule chez les non-votants des dernières élections, est que les centaines de milliers de Wallons qui préfèrent dormir le jour des élection vont, tout à coup, renforcer les files d'attente au bureaux de vote et voteront pour ce parti qui, même avec beaucoup de voix aura du mal à conquérir les voix des anciens abstentionnistes pourra pas se revendiquer des abstentionnistes qu'il y aura certairement  autant (si pas plus) qu'aux dernières élections législatives et européennes.

    Je me réjouis de lire les noms des candidats de ce parti blanco, qu'on leur demande pour qui ils avaient voté ou fait de leur bulletin ou qu'ils s'étaient abstenus aux derniers scrutins.. Et, en admettant, ce dont je doute, qu'ils décrochent quelques sièges comment il se comporteront au fil du temps dans les parlements respectifs.

    Je crois que ce parti blanco est une mauvaise idée.

    J'attends vos avis en commentaires à ce blog.

    Jacques Chevalier

  • 3 novembre 2023 De Lombarde

    Dsc05907 2Demain nous repartirons à Houtain Saint Siméon.

    Nous pensons que nous irions bien encore y être, de préférence dans le bungalow illustré en photo où nous sommes vraiment très bien en compagnie des mouettes, des canards et poules d'eau. Ce serait fin avril début mai pour une douzaine de jours.

    Dès notre retour je créerai sur mon site perso une énorme rubrique sur nos vacances d'automne avec toutes mes vidéos, il y en a une bonne trentaine et nos photos, nombreuses au moins cinquante.

    Je vous conseille "De Lombarde", il y a là près de l'étang une vingtaine de bungalows comme le nôtre, il y a aussi d'autres logements en dur et plein d'espaces pour le camping classique avec caravanes, pour les randonneurs, c'est bien et très vert même si on n'est qu'à 500 mètres de la plage.

    Il est 12 h 30 nous partirons bientôt faire une petite marche sur la digue de La Panne et irons manger une dernière fois cette année au Zest, notre resto de prédilection, je ne sais pas si on ira encore en terrasse sur la plage, avec nos manteaux, çà c'est certain, car s'il y a du soleil, que le vent tempétueux n'est plus qu'une brise, il fait quand même un peu plus froid (9°)

    Bonne journée à tout le monde.

    Annick et Jacques

     

  • Les punaises de lit... faut-il en avoir peur ?

    Le débat du WE - 7 au 9 octobre 2023 sur Facebook

    FAUT-IL AVOIR PEUR DES PUNAISES DE LIT ?

    Pour introduire le débat voici, in extenso, un article daté d'aujourd'hui trouvé sur le JIM, Journal Internatrional de la Médecine :

    'Pourquoi les punaises de lit nous font-elles si peur ?

     

    Paris, le vendredi 6 octobre 2023 – Comme nous l’évoquions cette semaine dans nos colonnes (car le JIM ne pouvait échapper à la folie collective du moment), les punaises de lit ont soudain envahi tout l’espace, reléguant au second plan l’inflation, le drame des migrants ou la guerre en Ukraine.

    « Sentiment » de punaises de lit

    Bien sûr, nous retrouvons ici l’influence de la focalisation médiatique. Ce sont les mêmes images rediffusées en boucle de potentielles punaises dans les transports parisiens (mais en était-ce vraiment ?) qui ont inévitablement créé un sentiment d’infestation généralisée, la réalité n’ayant que peu d’importance. Ce tourbillon journalistique (qui a très largement dépassé nos frontières) convoque un vocabulaire où l’on perçoit que les éventuels problèmes dermatologique associés aux punaises de lit sont loin d’être la première préoccupation. « Psychose », « paranoïa », « stress », « dépression », « syndrome post-traumatique », « rend fou » : titres et textes sont truffés de références aux pathologies psychiatriques. Ce champ lexical n’est sans doute qu’une nouvelle illustration de la tendance majeure à la « psychiatrisation » du moindre phénomène sociétal.

    Pas plus dangereux qu’une lasagne de cheval

    Mais parallèlement à cette émergence de la folie incarnée par le petit insecte peu ragoutant, certaines productions médiatiques tissent également une filiation avec l’épidémie de Covid. D’abord, parce que de de la même manière que les reportages de mars et d’avril 2020 sur la saturation des hôpitaux semblaient parfois des répétitions de reportages oubliés des hivers précédents, les vidéos et autres articles d’aujourd’hui sur les punaises de lit avaient été annoncés par des dizaines d’autres au cours des mois et années passés. Mais au-delà, ce qui est parfois retenu par la presse fait largement écho avec la Covid.

    Ainsi, dans un article du Monde du mois d’août, les intertitres auraient ainsi pu tout à fait aussi bien s’appliquer à un texte sur SARS-Cov-2 : « Phobie extrême », « Peur de contaminer » mettait ainsi en exergue l’auteur. Il n’est pas impossible que la punaise de lit déclenche les mêmes réflexes que l’irruption de la Covid dans nos vies, parce qu’elle (re)débarque dans un même monde où l’obsession sanitaire est de plus en plus forte.

    « Ce qui rend ce virus si dangereux ce n’est pas seulement ce qu’il est. C’est la société qu’il trouve en arrivant chez nous : ses psychoses, ses vulnérabilités. Souvenons-nous de la terreur provoquée par les lasagnes de cheval et le lait Lactalis qui ne tuèrent personne » écrivait (très prématurément) le journaliste Jean Quatremer sur la Covid au printemps 2020 ; remarque qui pourrait encore mieux s’appliquer aux punaises de lit qui à la différence de la Covid ne tuent personne à l’instar des lasagnes de cheval !

    Risque zéro

    Beaucoup espéraient vivre dans une société aseptisée qui est pourtant sans cesse malmenée par des nuisibles invisibles ou insaisissables : virus et punaises. L’hyper technologie ne nous a pas protégé de SARS-CoV-2 (même si elle nous a finalement permis de le tenir très clairement à distance) et la même stupéfaction (surjouée) nous étreint aujourd’hui face aux punaises.

    Ainsi, les punaises, comme tant d’autres « fléaux » avant elles, nous rappellent que nous vivons trop souvent dans « l’illusion de croire que tout peut être anticipé » pour reprendre l’expression de la politologue Virginie Tournay, qui évoquait alors des polémiques autour des substances chimiques. Ces discussions, poursuivait-elle, « s’inscrivent également dans un idéal utopique d’une société au risque zéro ». Là encore, l’éclairage peut s’appliquer à notre soudain irrépressible besoin de traquer les petites bêtes… et comme souvent de s’en remettre aux pouvoirs publics (implicitement considérés comme responsables).

    Sauterelles

    Ainsi, de très nombreux ingrédients étaient présents pour que les punaises deviennent les stars qu’elles sont aujourd’hui. D’autres peuvent être évoqués. L’invisibilité (relative) bien sûr nourrit facilement les fantasmes ; ici c’est le caractère insaisissable qui alimente les inquiétudes. Insaisissable et invérifiable : tout insecte indéfini peut devenir une punaise de lit, ce qui multiplie à l’infini les raisons de paniquer (et les reportages internationaux). En outre, contrairement à d’autres fléaux plus collectifs et globaux (la guerre, le réchauffement climatique les migrations pour certains), la punaise est une menace qui semble pouvoir nous toucher matériellement et individuellement, ce qui assurément ne manque pas d’avoir plus d’impact.

    La proximité du mal (« tout le monde connait quelqu’un qui… ») a également une force majeure. Nos punaises sont d’ailleurs très facilement devenues les instruments de la peur de l’autre, qu’il n’est jamais difficile de réveiller. Peur de l’étranger (puisque les migrations seraient en partie à l’origine de la diffusion des petites bestioles) mais au-delà peur de tous.

    En effet, comme au cœur de la pandémie de Covid, nous devenons tous suspects aux yeux des autres d’abriter (peut-être sans le savoir) ce qui pourrait faire basculer leur existence. La presse, encore elle, nous le rappelle d’ailleurs : « Tout le monde peut être touché », énonçait par exemple Nice Matin, tandis que le terme de « lépreuse » utilisé dans un article récent de Libération n’est pas non plus totalement anodin. Comment enfin ne pas voir dans notre mini panique (qui devrait cependant être rapidement balayée par une autre) un relent millénariste : nos petites punaises agissant comme les sauterelles de l’Apocalypse.

    A moins qu’écrasés et réellement impuissants face aux vraies (mais également en partie invisibles) catastrophes qui nous menacent (guerre, réchauffement climatique, inflation…), nous préférons taquiner la petite bête.  

    Sans pouvoir trancher, on relira :

    Le blog de Jean Quatremer : http://bruxelles.blogs.liberation.fr/2020/04/30/confinement-le-debat-interdit/

    Virginie Tournay :

    https://www.jim.fr/medecin/pratique/recherche/e-docs/substances_preoccupantes_a_letat_de_traces_une_communication_scientifique_sensible_173792/document_edito.phtml

    Aurélie Haroche "

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  • 20 sept 2023 : EVRAS etc...

    Pour commencer ce post je vous mets ici la copie d'un article du Vif (en ligne) de ce jour (20 septembre 2023) suite à la manifestation anti-EVRAS de ce dimanche 17 septembre à BXL :

    Fronde anti-Evras: les premiers pas incertains de l’islamo-droitisme

    Nicolas De Decker

    Journaliste

    L’opposition à l’Evras dans l’enseignement francophone, radicale ou plus pondérée, mobilise des franges apparemment opposées de la société.

    Le train IC Charleroi-Anvers-Essen arrive gare Centrale à 12 h 03, dimanche 17 septembre, alors elle conclut sa blague sur la « mongole fière » et, avec ses trois compagnons de voyage, elle se lève et s’approche de la porte du wagon. « Non mais, ne t’appuie pas là-dessus, tout le monde laisse traîner ses mains là », lance-t-elle à sa copine, blonde aussi, de la voix qu’elle a rauque, en hochant les tempes qu’elle a rasées. « Non mais, ne t’appuie pas là-dessus, tout le monde laisse traîner ses mains là », redit-elle à son pote, plus jeune, qui posait lui aussi la main sur la même poignée.

    Quand ils posent le pied comme tout le monde sur le quai, ils cherchent un peu leur chemin, allument une cigarette, puis trouvent ce qu’ils cherchaient. Une dame, les cheveux voilés de tissu jaune, traverse le hall de la gare avec une pancarte « Les parents contre l’Evras ». La blonde aux tempes rasées l’interpelle, « Madame, on vient de Charleroi pour ça, c’est où dites ? », « c’est par ici ma belle », répond la dame au voile jaune, et tous remontent vers le Mont des Arts où se tient, à l’initiative de l’association Bon Sens Belgique, une manifestation contre l’éducation à la vie sexuelle, relationnelle et affective (Evras).

    Qui sont les agitateurs de la fronde anti-Evras ?

    Là-bas est en train de se concrétiser une union, celle des tee-shirts Kairos, d’écharpes « Albanie », de voiles islamiques, de quelques gilets jaunes, de zabiba sur le front (le durillon, très exposé dans certains milieux musulmans, qui se forge à force de frotter le tapis de prière), de trainings du Galatasaray et de vestons en velours beige, venus crier leur opposition à l’éducation sexuelle dans les écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles et réclamer la démission de la ministre de l’Enseignement, Caroline Désir (PS).

    Il n’y a pas là, ou très peu, de manifestants pour réclamer que le manuel adopté pour guider les formateurs soit réformé. S’y trouvent uniquement des opposants de principe à l’organisation d’animations autour de ces questions, pourtant ancrée dans les traditions de la majorité des écoles
    francophones depuis plusieurs décennies, et scellée dans les référentiels de l’enseignement obligatoire depuis 2012, après l’assassinat homophobe d’Ihsane Jarfi, à Liège. Sur l’estrade, une youtubeuse islamiste
    maudira le « lobby LGBT, le Centre d’action laïque et les ultraféministes » avec leur « livre juste bon à mettre en rut de bons pédophiles », un intégriste catholique y honnira « la théorie du genre » et le « projet mondialiste de l’OMS pour imposer un nouvel ordre sexuel » et puis, un responsable rappellera de venir chercher des pétitions et de bien emporter les tracts : l’association Démocratie participative,
    activée par la crise du Covid, en a fait imprimer 500 000, barrés de cette question factuellement erronée : « L’école doit-elle enseigner l’éducation sexuelle explicite dès la maternelle ? »

    Des opposants discrets

    En tout, ce sont 1 500 personnes moissonnées par une formidable campagne de désinformation qui auront germé sur le Mont des Arts, une foule de conservateurs de toutes les espèces, surtout les plus
    déterminées. L’ampleur de la campagne et la puissance de la mobilisation – les députés francophones ont été noyés par les e-mails et les sollicitations – en faisaient même anticiper davantage. Mais seule
    l’opposition la plus radicale, la moins réductible à la raison et aux faits, y fit acte de présence.

    Une double contrainte a empêché la constitution de cet arc islamo-droitiste. D’une part, les incendies dans les écoles carolorégiennes puis la vandalisation d’écoles liégeoises ont saisi d’effroi beaucoup de gens, y compris chez les opposants à l’Evras, et ont réfréné leur enthousiasme. D’autre part, les franges les moins dures, et, d’une certaine manière, les plus institutionnalisées, des deux pôles de cette opposition islamo-droitiste n’ont pas appelé à manifester.

    Ces organisations contre l’Evras qui n’étaient pas à la manifestation

    Ainsi, plusieurs institutions islamiques (la Diyanet de Belgique, émanation de la République turque ; la Fédération des mosquées albanaises de Belgique ; les Associations des mosquées africaines de Belgique ; l’Union des mosquées de Liège ; la Communauté islamique bosniaque de Belgique…) avaient signé un communiqué condamnant les enseignements de l’Evras, arguant notamment qu’ils seraient attentatoires
    à la neutralité de l’Etat. Elles n’ont toutefois pas prolongé le mouvement en recrutant des manifestants en vue de la manifestation du 17 septembre. Elles se sont là faites plus discrètes, notamment
    parce que l’extrême droite catholique y était associée. Le Collectif contre l’islamophobie
    en Belgique a brièvement posté une publication sur les réseaux sociaux invitant à manifester, avant de l’enlever très peu de temps après.

    Ainsi, le « seul parti patriote » de Belgique francophone, Chez Nous, créé par des anciens du Parti Populaire et parrainé par le Vlaams Belang, le RN français et l’AfD allemand, s’investit beaucoup pour
    condamner les enseignements de l’Evras, arguant notamment qu’ils « imposent la théorie du genre » à l’école. Chez Nous n’a toutefois pas prolongé le mouvement en vue du 17 septembre. Ils se sont là faits plus discrets, notamment parce que des musulmans conservateurs y étaient associés. « Nous sommes contre l’Evras. Nous voulons un débat de fond sur le sujet, mais ici ce n’est plus possible : on parle des incendies dans les écoles, on parle de la religion brandie par une majorité de manifestants, des musulmans religieux, et ça nous dérange », argue Jérome Munier, président de Chez Nous.

    Une expansion en gestation

    Cette mobilisation bifide n’a donc pas, ou pas encore, atteint sa pleine expansion. Elle porte les germes d’une vague conservatrice qu’on a pu voir déferler dans certains pays, comme la France – beaucoup
    des arguments sont les mêmes que ceux portés par les opposants au « mariage pour tous ». Elle n’a pas encore de réelle traduction politique : seuls trois députés des Engagés (Mathilde Vandorpe, Pierre
    Kompany et René Collin) se sont abstenus au parlement francophone, unanime sur l’Evras. Mais parce que l’expérience des voisins n’a aucune raison de ne pas se reproduire chez nous, elle y constitue, spécialement pour le PS, le grand parti de gauche, et pour le MR, le grand parti de droite de Belgique francophone, un défi auquel chacun répond à sa manière.

    Le PS défend l’Evras becs et ongles

    Le PS est à l’avant-garde sur l’Evras et son guide. Tous les socialistes, y compris bruxellois, défendent la ministre de l’Enseignement, Caroline Désir, bruxelloise elle aussi. Or, la contestation a beaucoup pris dans des quartiers de la capitale où le PS, grâce notamment à son choix de défendre certaines libertés religieuses, ce qu’on a vu dans les débats sur le voile dans l’administration et sur l’abattage rituel, plutôt que son traditionnel anticléricalisme, a pu forger quelques succès ces dernières décennies. Les socialistes ont un électorat musulman, or certains musulmans taxent désormais le PS de satanisme et de pédophilie.

    La concurrence du PTB sur ce segment, entamée par des campagnes très dures en 2018 et 2019, ne faiblit pas. Sur l’Evras, le PTB a d’ailleurs d’abord considéré le guide et sa propagation insuffisants. Mais ni le parti ni son président n’ont condamné les incendies des écoles sur leurs très fréquentés réseaux sociaux. La cheffe de groupe PTB à la Chambre, Sofie Merckx, jusqu’à ces derniers jours, était la seule à l’avoir fait. Le 19 septembre, à la radio, elle changeait de ton, et ce n’est sans doute pas un hasard tant le PTB sait se montrer à l’écoute de toutes les colères. « Les parents inquiets ne sont pas tous des complotistes », disait-elle, pointant des questions que posait le guide, pourtant validé par son parti au Parlement quelques jours plus tôt.

    Le MR a participé à l’écriture du guide Evras

    Le MR, lui, est indirectement à la plume sur l’Evras et son guide. C’est en effet l’asbl O’Yes qui a rédigé le guide incriminé, et cette association tellement active, entre autres, dans l’éducation à la sexualité qu’elle ploie sous les accusations de « wokisme », est partie à Jeunes et Libres, la fédération des organisations de jeunesse, dont le siège est à l’avenue de la Toison d’Or. Le MR a voté lui aussi unanimement l’accord de coopération, et la plupart de ses figures de proue ont condamné les incendies d’écoles. Mais le président réformateur Georges-Louis Bouchez, lui, devra trouver un équilibre entre ces tendances libérales à l’anglo-saxonne et des segments plus conservateurs qu’il tente d’attirer à lui, segments inquiets face
    à la « théorie du genre » et au « wokisme » que porterait le guide Evras.

    Il n’est à cet égard pas étonnant qu’une conseillère du Centre Jean Gol ait, dans un éditorial,
    appelé à la prudence à l’égard du guide Evras, parce que, allant trop loin « par idéologie», il pourrait braquer les parents et être attentatoire à la neutralité de l’Etat. Tous ces gens que l’Evras énerve, et
    ceux qui disent qu’il ne faut pas les ignorer, n’étaient pas dans le train IC vers Bruxelles-Central, dimanche à 12 h 03. Mais peut-être ont-ils plus de choses à se dire que ce qu’ils pensaient.

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    Cet article est intéressant, il mérite vos commentaires sur la question, j'ai engagé le débat sur mon profil Facebook, il n'a pas reçu beaucoup de répondants alors que je suis sûr que ce post a été lu, il me semble que pour certaines personnes le sujet reste tabou. J'interviendrai en commentaires de ce blog pour me définir par rapport à l'Evras. L'illustration de cet article est une grille de mots croisés avec un bic de mon association LîDjibouti qui est à la base du Collectif Liégeois contre les Mutilations Génitales Féminines. 

    Les MGF ne concernent pas que quelques pays africains et asiatiques, c'est un phénomène qui s'étend au monde entier du fait des mouvements migratoires.

    Au CLMGF nous avons dénoncé les mutilations génitales dont souffrent plusieurs centaines de millions de filles et femmes sur tous les continents, y compris donc en Belgique. Même si, proportionnement au nombre d'enfants scolarisés, les petites victimes présentes et à venir sont une minorité, il me semble utile que le guide sur les EVRAS en parle pour que les professionnels de la santé, les enseignants et les parents responsables y trouvent les bonnes réponses aux questions éventuelles que poseraient les enfants au sujet de cet acte barbare qu'elles subissent et subiront tout le reste de leur vie.

    Ce n'est pas parce que dans les pays où on pratique les MGF avec l'aval d'un segment grandissant au sein de la religion islamique, au nom d'une "tradition" quatre fois millénaire, qu'il faut, comme la majorité des hommes de là-bas, appliquer la politique de l'autruche, la généralisation du tabou.

    Il s'agit bien de violences sexuelles même si (j'ai parcouru le guide sur l'EVRAS) les MGF et ce qu'elles engendrent ne sont pas évoquées.

    Voici le lien pour lire tout le GUIDE SUR L'EVRAS

    Merci de répondre ici et pas seulement sur Facebook.

    Jacques Chevalier, co-fondateur de l'association LîDjibouti et ex-Coordinateur du Collectif Liégeois contre les Mutilations Génitales Féminines (CLMGF).

  • La marche blanche pour Domenico

    Bon, j'essaye par ce biais de vous montrer la vidéo de "Survécu" publiée sur sa page Facebook, impossible de partager sur FB alors j'essaye ici

    Cliquer sur MARCHE BLANCHE 27 AOUT 2023 à Oupeye

    Bon j'espère que ce sera enfin visible, cette vidéo n'est pas contraire aux statuts de Facebook, elle n'est pas (ni la marche) un appel à la violence, les images sont dignes et pas vulgaires.

    Perso, j'étais contre l'autorisation de cette marche estimant que c'était déplacé et incompatible avec l'idée qu'on se fait d'une "marche blanche" depuis celle pour les enfants disparus en 1996.

    Celle-ci était de l'initiative de la famille de Doménico qui n'avait pas obtempéré à un ordre de la police et avait été tué d'une balle dans la nuque à Oupeye il y a un peu plus d'une semaine. Cette marche a rassemblé un bon millier de personnes, dans la dignité, elle était émouvante.

    Merci à Joshua Malaise, un de mes amis FB et dans la réalité, journaliste pour Survécu pour ce film de plus d'une heure. A noter que les médias comme RTBF et RTL brillaient par leurs absences.

    Maintenant on espère que la justice voudra bien examiner TOUS les témoignages de gens qui étaient là ce vendredi là.

  • BLOG A JAK 19 août 2023

    COUCOU LE REVOILOU ! OU POUR ETRE PLUS JUSTE : CACA LA REVOILA !

    La Covid, sous un nouveau masque, est de retour quoiqu'en disent les gouvernants de notre pays qui semblent toujours en vacances. Le Ministre de la Santé, en ne voulant pas publier le nombre des morts par hôpital depuis quelques semaines, ne présage rien de bon. Il est clair pourtant qu'on invite les personnes à risques, comme moi, à remettre une dose de vaccin via le médecin (qui, je suppose, n'est pas au courant et qui n'a pas le temps) ou le pharmacien (qui risque d'avoir des files de "clients" en plus avec risques de vols et autres chapardages dans son officine). On va rouvrir Bierset je présume, mais quand ?

    Du temps de la pandémie, souvenez-vous, je dressais un point quotidien sur les évolutions de la maladie, cela donnait des statistiques à la pelle dont le site Sciensano nous abreuvait à l'époque, d'abord chaque jour puis de plus irrégulièrement ne permettant plus au quidam ordinaire de s'y retrouver, à croire que c'était fait pour décourager les "petits observateurs" faisant taches dans les salons des grands et autres experts plus ou moins patentés, voire crédibles.

    Je ne compte pas reprendre ce travail de fourmi, je ferai comme la grande masse du troupeau : bêler ou - comme les vaches - regarder les trains passer. Enfin je dis çà mais je suis sûr que je ne resterai pas muet en ligne même si mon avis compte pour de la M...

    Ceci dit, parait qu'aujourd'hui et la semaine qui vient il fera moins chaud qu'en France où les Marseillais vont se taper des températures de plus de 40 degrés à l'ombre, victimes du "dôme" qui remonte, comme les hirondelles au printemps, vers le nord, et n'annonce pas ici le bon temps, même si on bronzera plus vite même hors des plages à touristes. Faut aussi se méfier des bestioles qui piquent fort qui remontent d'Afrique, à chacun en Europe à vivre dans les années qui viennent comme au "tiers monde". Et on ne sait rien y faire même si les voitures, camions et autres moyens de transports vont polluer de moins en moins mais avec encore plus et plus d'électricité à produire, donc de pollution industrielle pour maintenir le taux de CO2 et, surtout, pour maintenir (et augmenter) celui du profit et le bonheur des minorités riches qui font la pluie et le mauvais temps et qu'on oublie souvent leur statut, celui du capitalisme... Bon, je sais on va encore me serriner que je suis un sale coco scandant les mêmes âneries depuis des siècles et qui n'ont mené qu'à les catastrophes et autres désillusions. Ou bien que je suis un vilain complotisse, ou un Nostradamus de banlieue.

    Vous qui me lisez vous n'êtes pas dispensés de partager ce texte vers vos amis sur la planète Facebook et toutes et tous vous êtes bienvenus dans mon salon (ici) à papoter comme au "Café du Commerce" devant une bière (sans alcool). Ah oui, on prévoyait il y a une dizaine d'années que le réchauffement climatique nous amènerait la Mer du Nord à hauteur de Bruxelles vers 2050, il semble bien que ce sera plus rapide. En 2060...Miam les crevettes et autres crustacés sur les grands parkings des Carrefour Herstal et autres Cora Rocourt et la pêche aux moules et autres coquillages sur les rails du tracé du tram à Liège. Enfin je ne vivrai pas çà, vous non plus, on se contente de laisser çà en héritage pour nos petits-enfants, à moins qu'il y ait la guerre d'ici là !

    Bonne journée quand même !